samedi 31 décembre 2011
Le givre
Le givre
Mon Dieu ! Comme ils sont beaux
Les tremblants animaux
Que le givre fait naître
La nuit sur ma fenêtre.
Ils broutent les fougères
Dans un bois plein d’étoiles
Et l’on voit la lumière
A travers les corps pâles.
Il y a un chevreuil
Qui me connaît déjà ;
Il soulève pour moi
Son front d’entre les feuilles.
Et quand il me regarde
Ses grands yeux sont si doux
Que je sens mon cœur battre
Et trembler mes genoux.
Laissez-moi, o Décembre !
Le chevreuil merveilleux
Je resterai sans feu
Dans ma petite chambre.
Maurice Carême
(Elle est belle cette poésie ! Je sens que les élèves de "Chérie" vont l'avoir à apprendre !)
vendredi 30 décembre 2011
Bon bout d'an !
Ma soirée au coin du feu ...
dimanche 25 décembre 2011
mercredi 30 novembre 2011
dimanche 20 novembre 2011
samedi 5 novembre 2011
"Chéri" à Conforexpo
Depuis hier et jusqu'au 13 novembre !
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dimanche 30 octobre 2011
samedi 29 octobre 2011
Quoi de neuf à l'atelier ?
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jeudi 27 octobre 2011
Halte à la christianophobie !
Deux spectacles blasphématoires programmés en France à la rentrée suscitent l'indignation de
tout chrétien digne de ce nom.
- Le premier, intitulé "Golgota picnic", est prévu à l'affiche du Théâtre de Garonne à Toulouse du 16 au 20 novembre puis au Théâtre du Rond-Point à Paris du 8 au 17 décembre prochains. Le metteur en scène Rodrigo Garcia prétend revisiter ici les Saintes Ecritures et parle d'approche
"absolument impudique" destinée à présenter l'iconographie chrétienne comme l'image de "la terreur et de la barbarie".
tout chrétien digne de ce nom.
- Le premier, intitulé "Golgota picnic", est prévu à l'affiche du Théâtre de Garonne à Toulouse du 16 au 20 novembre puis au Théâtre du Rond-Point à Paris du 8 au 17 décembre prochains. Le metteur en scène Rodrigo Garcia prétend revisiter ici les Saintes Ecritures et parle d'approche
"absolument impudique" destinée à présenter l'iconographie chrétienne comme l'image de "la terreur et de la barbarie".
Si, dans le dossier de presse de ce "Golgota picnic", Rodrigo Garcia explique avoir construit son propre imaginaire biblique, celui-ci se traduit par un langage et des images obscènes. Le Christ est appelé ici "el puto diablo" et est comparé à un terroriste. Sa plaie ultime de crucifié est remplie de billets de banque. Des hamburgers jonchent le sol de la scène de spectacle pour parodier de façon grotesque la multiplication des pains. Et c'est nu que le chef d'orchestre
italien Marino Formenti interprète au piano l'air des "Sept dernières paroles du Christ en Croix" de Haydn. Mais Marino Formenti n'y voit pas malice puisque "les acteurs (...) sont nus très souvent aussi".
Joué précédemment en Espagne, ce spectacle blasphématoire y avait provoqué un véritable tollé, suscitant une question au Parlement, puis des manifestations devant le théâtre. A quoi le metteur en scène Rodrigo Garcia se contente de répondre : "Mes pièces sont toujours mal reçues. Une bonne partie du public est bête (...)".
- Le second spectacle blasphématoire est un opéra-théâtre intitulé "Sur le concept du visage du fils de Dieu". Cette "œuvre" de Romeo Castellucci sera en tournée européenne jusqu'en février 2012, notamment à Paris, au Théâtre de la Ville, du 20 au 30 octobre, et au Centquatre, du 2 au 4 novembre, à Rennes, du 10 au 12 novembre, et à Villeneuve-d'Ascq, au Théâtre La Rose des Vents les 29 et 30 novembre. La succession de tableaux montre tour à tour un vieillard nu se torchant les fesses, des enfants caillassant le visage du Christ (avec des grenades factices pour faire plus vrai) puis le visage innocent de NSJC est attaqué de l'intérieur. Il est d'abord trituré, déformé comme par des mains et des pieds qui pousseraient la fine peau de surface. Ensuite on dirait qu'un grand couteau l'entaille, et de grandes coulures d'un brun-rouge évoquant plus les matières fécales de la scène précédente que le sang, se répandent sur lui, avant qu'un
voile noir ne recouvre le portrait du fils de Dieu pour faire apparaître le mot de la fin : "You are not my shepherd" ("Tu n'es pas mon berger").
italien Marino Formenti interprète au piano l'air des "Sept dernières paroles du Christ en Croix" de Haydn. Mais Marino Formenti n'y voit pas malice puisque "les acteurs (...) sont nus très souvent aussi".
Joué précédemment en Espagne, ce spectacle blasphématoire y avait provoqué un véritable tollé, suscitant une question au Parlement, puis des manifestations devant le théâtre. A quoi le metteur en scène Rodrigo Garcia se contente de répondre : "Mes pièces sont toujours mal reçues. Une bonne partie du public est bête (...)".
- Le second spectacle blasphématoire est un opéra-théâtre intitulé "Sur le concept du visage du fils de Dieu". Cette "œuvre" de Romeo Castellucci sera en tournée européenne jusqu'en février 2012, notamment à Paris, au Théâtre de la Ville, du 20 au 30 octobre, et au Centquatre, du 2 au 4 novembre, à Rennes, du 10 au 12 novembre, et à Villeneuve-d'Ascq, au Théâtre La Rose des Vents les 29 et 30 novembre. La succession de tableaux montre tour à tour un vieillard nu se torchant les fesses, des enfants caillassant le visage du Christ (avec des grenades factices pour faire plus vrai) puis le visage innocent de NSJC est attaqué de l'intérieur. Il est d'abord trituré, déformé comme par des mains et des pieds qui pousseraient la fine peau de surface. Ensuite on dirait qu'un grand couteau l'entaille, et de grandes coulures d'un brun-rouge évoquant plus les matières fécales de la scène précédente que le sang, se répandent sur lui, avant qu'un
voile noir ne recouvre le portrait du fils de Dieu pour faire apparaître le mot de la fin : "You are not my shepherd" ("Tu n'es pas mon berger").
Même si nous ne pourrons pas être présents à la manifestation de samedi à Paris, nous sommes de tout coeur avec les manifestants et nous invitons tous ceux qui le souhaitent à réciter en neuvaine cette prière :
Louanges divines en réparation des blasphèmes
Dieu soit bénit,
Béni soit son Saint Nom,
Béni soit Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme,
Béni soit le Nom de Jésus,
Béni soit son Sacré Cœur,
Béni soit son Précieux Sang,
Béni soit Jésus-Christ au Très Saint Sacrement de l’autel,
Béni soit l’Esprit Saint Consolateur,
Bénie soit l’Auguste Mère de Dieu, la Très Sainte Vierge Marie,
Bénie soit sa Sainte et Immaculée Conception,
Bénie soit sa Glorieuse Assomption,
Béni soit le nom de Marie, Vierge et Mère,
Béni soit Saint Joseph, son très chaste époux,
Béni soit Dieu dans ses anges et dans ses saints.
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